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Le SGBM aux journées ABES 2016

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Le SGBM était au programme des journées ABES le mercredi 11 mai.
Sandrine Berthier, coordinatrice du projet SGBM à Bordeaux et représentante des sites pilotes, est revenue en détail sur l’historique et les enjeux du projet SGBM avant de présenter les étapes à venir (cf.diaporama).

Parmi les problématiques importantes du SGBM, elle a notamment mis l’accent sur les points stratégiques suivants :
– pouvoir faire évoluer nos SGB pour répondre aux spécificités des universités françaises, notamment en termes de système d’information ;
– maîtriser les données existantes, et accéder à davantage de données (bases de données internationales);
– permettre l’ouverture d’API et de webservices, avec une architecture orientée services;
– accélérer la transition des éditeurs vers des approches nouvelle génération ;
– développer les processus d’industrialisation des déploiements ;

Elle a également insisté sur l’importance de l’expérience collaborative vécue à travers le projet SGBM, avec une recherche de consensus entre les différents établissements pilotes, qui pourrait nourrir à l’avenir d’autres projets de collaboration au niveau national.

Avant de laisser la parole à la salle, Sandrine Berthier a conclu sur les derniers défis à venir pour les sites pilotes, avec la préparation des données en vue des migrations, les modalités de formation des formateurs, qui restent à préciser, et la perspective de plateformes de partage et de nouveaux modes de mutualisation pour les futurs utilisateurs des SGBM retenus.


Et si on allait voir ailleurs ?

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Travel background illustrationEn France, on sait qui est dans le projet SGBM : les sites pilotes, les membres du groupements de commande apparaissent sur cette carte. Mais qu’en est-il ailleurs ? Quels établissements, quels réseaux se sont déjà lancés dans l’aventure ?

Rappelez-vous, en 2014, nos collègues Sébastien Daillet et Marie-Josée Krill ont participé aux voyages d’étude organisés par Médiad’oc. Un premier voyage à l’Université de Tilburg aux Payx-Bas avait permis de voir l’implémentation du produit Worldshare de la société OCLC. Un peu plus tard, c’est à Manchester, qu’un voyage avait été l’occasion de découvrir le logiciel Alma de la société Ex-Libris.

Et ces temps-ci, par où serait-il bon d’organiser un voyage d’étude ?

En Suisse, l’ensemble des bibliothèques du canton de Vaud est en train de finaliser la migration de son catalogue, actuellement géré par le consortium Rero : comme à Manchester, c’est aussi Alma d’Ex-libris qui a été choisi dans le cadre du projet « Renouvaud » piloté par la Bibliothèque cantonale universitaire de Lausanne (BCU). Le lancement est prévu pour le 22 août : à surveiller de près !

En Catalogne, le consortium (CSUC) des regroupant les établissements d’enseignement supérieur a publié un appel d’offres en août 2015 pour la réinformatisation de l’ensemble des bibliothèques de ce réseau. CSUC Catalonia. Depuis, les éditeurs principaux de SGB ont répondu à l’appel, mais rien n’a filtré pour le moment sur le nom de l’heureux élu. Un voyage d’étude barcelonais à programmer plutôt vers la fin de l’année donc…

 

Les impacts sur le public

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S’il est difficile d’envisager les impacts du SGBM sur nos pratiques professionnelles, il est plus aisé d’imaginer ce que seront ces impacts pour le public. C’est du moins ce qui ressort du dépouillement de l’enquête à laquelle vous avez participé.

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Tout d’abord, il semblerait que vos inquiétudes reposent essentiellement sur la capacité de l’outil à répondre de façon pertinente à une recherche de l’usager, le risque de la profusion des résultats, de la confusion des réponses multisports et de la difficulté pour  l’usager d’ opérer un choix a été en effet pointé par un certain nombre d’entre vous. Des questions aussi sur la protection et la gestion des données personnelles « in the Cloud » …. et par conséquent sur  la dépendance avec un fournisseur distant semblent également  vous préoccuper.

Mais pour la majorité d’entre vous, l’apport de cet outil pour le public est perçu de façon positive. En effet, vous y voyez un moyen :

  • D’améliorer la visibilité des ressources notamment électroniques
  • De valoriser l’ensemble des collections et services du réseau BIU
  • D’assurer une meilleure adéquation entre offre et besoins documentaires
  • D’améliorer le renseignement bibliographique
  • De renforcer l’autonomie des usagers grâce à une interface unique de type Google.

Et de façon induite :

  • De favoriser les échanges entre professionnels et usagers
  • De renvoyer une image « moderne » de la BIU

Enfin, si vous vous êtes montrés enthousiastes en ce qui concerne les avantages de ce nouvel outil pour le public, vous vous êtes montrés aussi très réalistes en soulignant l’importance de l’accompagnement et de la nécessité de former les usagers pour qu’ils s’approprient  le plus naturellement le futur SGBM.

Formation

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Dans l’enquête SGBM qui vous a été soumise, peut-être vous rappelez-vous avoir répondu à une question concernant votre formation. A « De quel accompagnement pensez-vous avoir besoin?», 42% d’entre vous ont répondu « de formations », et certains ont précisé ce besoin.

Pour la plupart, vous avez souligné la nécessité d’être formé à l’utilisation du nouvel outil. Vous avez pu insister sur la nécessité que ces formations soient proposées en quantité suffisante, et surtout organisées de façon adaptée (souhaitant par exemple des petits groupes, ou en présentiel, ou accompagnés de supports qui resteraient disponibles). La question des formations à l’outil en tant que tel est instruite par la commission formation de l’équipe SGBM nationale. Une interview d’un membre de cette commission est actuellement en préparation sur Noria.

D’autres ont aussi évoqué des formations moins liées à l’outil qui serait choisi qu’aux changements induits par l’usage d’un SGB. C’est ce qui ressort également des réponses que vous avez faites dans le reste de l’enquête. Tous les points que vous avez soulignés peuvent être partagés entre deux grandes familles de formations.

D’abord les formations permettant de comprendre les évolutions de l’environnement des outils documentaires (ce qui distingue un SGB d’un SIGB, qu’est-ce qu’un outil de découverte, les enjeux de médiation qu’ils posent, l’évolution de l’environnement bibliographique national…). Elles peuvent intéresser tous les personnels de la BIU, sans distinction de fonctions.

Et puis ce qu’on pourrait appeler les formations opérationnelles, qui faciliteraient l’adaptation aux évolutions provoquées par l’usage de ces nouveaux outils. Ces évolutions concernent de nombreuses activités actuelles de la BIU, comme cela sera évoqué dans un prochain billet.

L’enquête, les suites… (impacts sur l’évolution du travail)

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Suite au dépouillement du questionnaire SGBM, les réponses relatives aux impacts attendus sur l’évolution du travail ont été ventilées selon les principales activités de la BIU : collections, communication, services aux publics, patrimoine, direction, informatique et administration.

Il est impossible de rendre compte en un post de la richesse de vos réflexions, que le GT SGBM-conduite du changement a synthétisée à l’attention de l’équipe de direction de la BIU. A défaut, voici en quelques lignes les principales évolutions qui se dégagent :

En ce qui concerne les collections, vous avez été nombreux à pointer la nécessité d’adapter les circuits de sélection et de traitement des documents : l’arrivée d’une base de connaissance élargie autour du catalogue de la bibliothèque, les nouvelles modalités de suggestions d’achat pour les lecteurs et le décloisonnement entre ressources électroniques et imprimées sont selon vous les principaux facteurs de changement à prendre en compte en matière de gestion des fonds documentaires.

Dans le large champ des services aux publics, il ressort de vos réponses que la formation des usagers sera spécialement impactée : nécessité de réviser les modes d’emploi et screencasts actuels, ainsi que les trames de formation en général, nécessité aussi d’organiser une campagne d’accompagnement des lecteurs durant la période de transition entre l’OPAC actuel et le futur SGBM.

Pour les équipes chargées de la communication, un des challenges sera de trouver la bonne articulation entre l’interface SGBM et les ENT des Universités, où l’on espère donner à l’avenir une meilleure visibilité aux services offerts par la BIU.

Côté patrimoine, les évolutions sont plus compliquées à anticiper à ce stade. Selon que le SGBM se substituera en tout ou partie à certaines fonctions actuelles du SID (quid de la gestion des images par exemple ?), il est possible que le circuit de numérisation des documents patrimoniaux soit modifié.
Pour le service informatique, nul doute que le projet a dès aujourd’hui des conséquences importantes. La période de transition entre les deux systèmes impliquera aussi probablement une forte sollicitation du groupe de travail migration, ainsi que des formateurs relais appelés à former le reste des équipes au nouvel outil. Une fois le SGBM déployé, le contrôle de la qualité des données consultées via la base de connaissance devrait devenir une activité substantielle. En revanche, les collègues en charge de la maintenance informatique n’auront plus à gérer l’installation des licences Aleph.

Le pôle administratif de la BIU pourra voir évoluer une partie de ses activités comptables et financières, si l’interopérabilité attendue entre le SGBM et le logiciel comptable se confirme : le cas échéant, le circuit de facturation des différents achats documentaires devrait pouvoir être simplifié et raccourci.

Voilà, vous savez l’essentiel ! Si vous êtes plus curieux, vous trouverez ici la synthèse des réponses à l’enquête.

SGBM, nouvelle saison

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L’année universitaire commence fort avec déjà des réunions de lancement de projet, des formations et des GT SGBM qui fleurissent de partout. Go-live ? Alma ? Ex-Libris ? Kick-off ? Un peu perdus dans tout ce jargon ? Pour vous aider, voici un petit rappel des épisodes précédents et un avant-goût du programme de Noria pour les mois à venir.

mai 2017 : la solution du fournisseur Ex-Libris est retenue, Alma et Primo vont remplacer Aleph

juin 2017 : l’organisation de travail se met en place, elle est présentée lors de la journée BIU. Vous pouvez la retrouver ici.

août 2017 : 2 réunions de lancement regroupent l’ensemble des participants au projet et Ex-Libris, le travail des GT commence à la BIU et se poursuit selon le calendrier que vous pouvez trouver  ici !

La semaine prochaine, vous saurez tout sur Alma et Primo et dans les semaines à venir, chaque aspect du travail d’implémentation sera présenté afin que chacun sache qui fait quoi et tout au long des mois de septembre et d’octobre, l’activité de chacun des GT sera dévoilée !

Alma, Primo, kézako ?

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Au mois de mai 2018, Alma et Primo seront nos outils de travail.

Primo, c’est l’outil de découverte, à savoir le moteur de recherche qu’utiliseront les lecteurs pour accéder à la documentation. Il remplacera nos catalogues actuels (Opac, Publication finder, etc…).

Alma, c’est l’outil qui permettra aux professionnels de gérer la documentation : Alma viendra remplacer les modules d’Aleph (circulation, acquisitions, …) mais pas seulement. Alma permettra de traiter dans le même outil les ouvrages imprimés et aussi la documentation électronique.  Grâce à son ERMS, fini les innombrables tableaux Excel que connaissent bien les chargés de docélec !

Cerise sur le gâteau, Alma et Primo seront livrés avec un index central : chercher en un seul clic des articles dans différentes bases de données devient possible ! C’est par exemple déjà le cas dans certaines bibliothèques, comme à la BCU Lausanne.

Impatients d’en savoir plus ?

Ex-Libris a mis en ligne les présentations vidéo de TOUS les modules et fonctionnalités d’Alma et Primo. Vous pouvez également profiter du « bac à sable » grâce aux codes disponibles sur l’intranet, rubrique SGBM, pour vous essayer à ce nouvel environnement.

 

 

 

 

Le GT migration

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Une équipe d’experts…
  • Florence Chaudoreille (expert Patrimoine)
  • Sonia Dumortier (expert « historique » : lecteurs, circulation, contentieux)
  • Nathalie Font-Gravier (expert données locales)
  • Laure Franceschi (chef de projet BIU)
  • Régis Griesser (chef de projet SGB)
  • Virginie Legarff (expert périodiques)
  • Anne-Laurence Mennessier (chef de projet université de Nîmes)
  • Isabelle Oms (expert données bibliographiques)
  • Céline Paillaret (chef de projet documentation électronique)
… pour préparer et suivre la migration de nos données Aleph dans le nouvel outil Alma

Il s’agit de remplir les 2 formulaires de migration et  de configuration et de préparer :

  • Les données : des travaux de préparation / correction des données ont déjà eu lieu dans Aleph pour migrer dans Alma des données propres et complètes. D’autres travaux sont en cours : adapter nos données à la nouvelle architecture Alma (il existe un niveau « notice de fonds » ou « notice holding » qui n’existe pas dans Aleph), établir des concordances entre les tables Aleph et les tables Alma (par exemple pour les types de documents : il faut déterminer, pour chaque type de document Aleph, quel sera son équivalent dans Alma)…
  • Les flux entre les SI des universités et Alma, par exemple entre Apogée (ou Scolarix pour Unîmes) et Alma : quelles données lecteurs faut-il récupérer, selon quelles mises à jour, comment se passera le dédoublonnage…
  • Les modalités d’authentification

Pour ces 2 derniers aspects, plus informatiques, le GT intègre des représentants des DSI des établissements (UM, UPVM, UN, ENSCM).

… d’ici avril 2018

Actuellement, le GT se réunit toutes les semaines : il doit rendre le formulaire de migration et le formulaire de configuration le 27 octobre… La période septembre-octobre correspond donc à un pic d’activité pour le GT migration !

Ex Libris pourra ensuite procéder à la migration des données dans Alma pendant la première quinzaine de novembre (Une deuxième migration, définitive cette fois, aura lieu juste avant la mise en production, fin avril 2018)

A partir du 21 novembre, nous disposerons donc de nos données dans notre environnement Alma (dans le bac à sable, actuellement, nous avons des données provenant d’autres établissements Alma), pour faire de vrais tests.

Prochaine période d’intense activité pour le GT migration, la VA (vérification d’aptitude), de décembre 2017 à avril 2018 : il sera essentiel de faire le plus de tests possibles pour faire remonter à Ex Libris tous les dysfonctionnements constatés.

Une véritable épreuve d’endurance…

 

 


L’interview vérité

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Le dernier entretien avec Laure Franceschi, chef de projet SGBM à la BIU, date de 2015 : http://noria.biu-montpellier.fr/2015/07/13/interview-de-laure-franceschi-chef-du-projet-sgbm/

Quoi de neuf depuis ?

Pour être au plus près de vos attentes, nous vous proposons de nous envoyer toutes les questions que vous rêvez de poser à notre chef de projet. L’interview sera publiée la première semaine de novembre.

Comment faire? C’est simple, vous pouvez laisser un commentaire sur le blog ou bien, pour les plus timides d’entre vous, vous pouvez remplir ce framapad en tout anonymat.

Vous avez jusqu’au 20 octobre!

Mission Collections, automne-hiver 2017

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Les experts Montpellier 

L’équipe réunit les chargés de mission de chaque pôle disciplinaire (D. Côme pour les LSHS, V. Le Garff pour le DEGE, C. Dumont pour le PSS et C. Czernielewski pour le PST), renforcés par C. Paillaret pour les questions de signalement en masse et le suivi des usages statistiques de la documentation électronique.

La Mission Collections planche sur le projet SGBM à hauteur de 95 % de son temps dédié. À cette aune-là, avouons qu’il serait pour le moins incongru de parler d’emplois fictifs !

« Collégialité » est un des maîtres-mots du mode d’organisation de la MCOL : si les tâches à réaliser pour le collectif sont réparties en fonction des appé- et compétences de chacun, il s’agit de viser une progression en compétences conçue sur un mode synchrone.

Les derniers tycoons

Une journée – voire une et demi – de travail par semaine : pour la MCOL, le SGBM est tout, sauf une sinécure ! Mais il faut bien cela à nos experts pour pouvoir suivre les sessions de formation à Alma, notamment en passant au peigne fin des dizaines de tutoriels lors des séances de visionnage, à l’instar des nababs hollywoodiens dans un roman de F.Scott Fitzgerald !

Sans oublier la préparation des  questions à poser au fournisseur, des revues en visioconférence interactive, du renseignement des formulaires et, last but not least, la réflexion sur les changements potentiels, voire probables, risquant d’affecter les circuits de travail.

Du grain à moudre

La MCOL doit d’abord contribuer à renseigner les formulaires d’intégration des applications tierces et de configuration Alma, pour tout ce qui a trait à la gestion des ressources documentaires et aux acquisitions  dans Alma. Elle doit ensuite organiser les tests sur l’environnement de  pré-production avec l’ensemble des équipes concernées par la gestion des collections. Puis il lui reviendra de dresser, à l’attention du comité de suivi, la liste des impacts organisationnels à prévoir, pour validation. Et, s’il lui reste du temps, elle s’attellera à la révision des procédures de travail pour la gestion des collections dans Alma. (Ouf ! de soulagement.)

Le meilleur des mondes

Tout semble donc aller pour le mieux dans notre futur univers informatique ?

Oui…À ceci près que la mini-centurie de nos collectionneurs rencontre une résistance opiniâtre…Opposée, non par un petit village armoricain, mais par les interfaces du système ! Elles sont en effet en anglais, ainsi que les tutoriels, ce qui nourrit la crainte d’une caducité des captures d’écran au fil du temps. Mais le bât blesse surtout au plan de la traduction, parfois méandreuse, voire fluctuante (et mergitur ?).

Ésope reste ici et se repose

La solution serait-elle à trouver outre-Quiévrain – une fois n’est pas coutume ?

À Liège, nos collègues ont opté pour une solution hybride : les supports de formation et l’aide en ligne ont été reformulés en français, moyennant une intégration des termes de l’interface en anglais, avec, en appui, un mini-lexique compilant les termes techniques professionnels. Ils choisissent ainsi de travailler sur l’interface anglophone ou francophone, et semblent très bien s’en accommoder.

Imagine-t-on les personnels de la BIU travaillant au quotidien sur une version franglaise ? Rien n’est moins sûr. Mais gageons qu’une solution finira par émerger, telle une Vénus anadyomène. On sait, au moins depuis Ésope, que la langue est la meilleure et la pire des choses !

La main passe

Et quant à donner du temps au temps…
Le formulaire d’intégration des applications tierces est déjà entre les mains de la cheffe de projet BIU. Le formulaire de configuration devrait suivre (échéance au 23/10). Après quoi, début septembre, place aux tests sur l’environnement de pré-production. Le travail sur les nouveaux flux de travail va bon train et devra être terminé avant le début des sessions de formation pour l’ensemble des équipes. La MCOL passera alors la main au GT Accompagnement.

0Mais ceci est une autre histoire, dont les péripéties vous seront très prochainement narrées sur votre blog préféré.

 

 

Mission SGBM GT Formusa = Composition de l’équipe de rugby Formusa

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Cette année l’équipe Formusa a pour mission principale de travailler sur la configuration et la mise en œuvre de l’outil découverte primo : le maître mot étant l’accès pour nos usagers aux ressources électroniques quels que soit l’institut ou la bibliothèque auxquels ils appartiennent.

L’équipe Formusa challenger de nombreux titres en compétions (experte en documentation papier et électroniques, métadonnées etc..), classée 2ème au top 14 est prête à affronter ce challenge.

 

L’équipe est composée :

Du capitaine/talonneur : Laure Franceschi, le courage d’un capitaine étant une valeur primordiale Laure n’en manque  pas pour démêler la configuration et l’ajout d’un campus et d’un groupe, définir qui a accès à quoi selon le campus auquel il appartient, et y associer un proxy. L’objectif étant  que  l’ensemble de  nos usagers puissent avoir accès à nos ressources sans trop de restrictions. Laure sait  encourager son équipe quand le moral faiblit, quand elle sent que l’adversaire prend du terrain (comment associer un groupe, un campus, que fait proxy ?) et  même quand l’équipe ne comprend plus très bien les règles du jeu.

Les deux piliers : Stéphanie Jaunault, nouvelle recrue de l’année et favorite car ayant déjà affronté par le passé l’outil Primo/central, elle en connaît  les défauts et les qualités, rien ne lui échappe, que ce soit sur l’architecture de l’interfaçage Alma/Primo ou la façon dont se fera l’authentification sur Primo via Alma : Denis Guthfreund, son expérience sur le terrain lui a été acquise par des années de pratique , plus de 5 années dans l’équipe GT Formusa  mais il sait que cette année l’enjeu est de taille, au final l’équipe Formusa joue sa première place et espère à terme obtenir le bouclier/BIU, rien que ça.

L’ailier : Brigitte Lattier, sa vitesse d’esprit lui permet de contourner les problèmes, elle ne lâche rien aussi bien sur les  documents déposés sur le SID (littérature grise,Folia,Annales) ,sur les abonnements : comment gérer les 3 types d’authentification sur une seule instance (UPV, UM, UN) + reconnaissance IP sur chacun des campus ou sur scop-périmétres de recherche : comment gérer des listes différentes selon UPV-UM-UN ? bref Primo/central n’a qu’à bien se tenir.

Les demi de mêlée : Mélanie Karli  et Jean-Philippe Aynié, agiles et vifs ils sont capables de faire des passes rapides et précises afin de dynamiser le jeu. Pour l’instant ils planchent sur la question suivante : la  configuration des livres, revues papier, audiovisuel, voire manuscrits… (lié au moissonnage ou non de CALAMES et Foli@ par Alma/Primo), bientôt tout cela n’aura plus de secret pour eux.

Les arrières : Valérie Vayssière-Gaspard, Nicolas Vermond, Jean Llurba

Même s’ils sont souvent en retrait leur rôle est de plaquer l’outil Primo pour qu’il ne perce  pas trop la ligne de défense, ce sont d’excellents plaqueurs, toujours  en attaque, pour remonter  au niveau des ailiers et il n’est pas rare de les voir marquer des essais.

 

Après un échauffement d’un mois, l’équipe s’entraîne actuellement tous les vendredis matin sur le terrain de Richter, un premier test fin novembre est prévu dans le bac à sable, le match final se déroulera en juillet.

 

Pour l’instant, l’équipe a de nombreux supporters,  n’hésitez pas à adhérer et surtout à soutenir votre équipe favorite.

 

Allez Formusa !

 

Jean Llurba

 

 

Alma, Primo et les services aux publics : un avant et un après ?

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Depuis septembre, la Mission services aux publics planche de son côté sur la configuration des modules d’Alma qui gèrent… les services aux publics. Règles de prêt, réservations, retour indifférencié, etc. : le groupe, composé de Sophie Aude, Nathalie Darbon, Marie-Josée Krill et Nathalie Darbon, a dû se projeter dans l’après Aleph grâce aux formations vidéos, à l’aide de l’équipe-projet d’Ex-libris lors des revues de projet, à beaucoup de travail mais aussi grâce à une bonne dose d’imagination.

Tour d’horizon des quelques-unes des problématiques qui ont occupé la MSP…

Les règles de prêt

Grand ménage de printemps dans la gestion des statuts usagers et des statuts de prêt ! Dans Alma, les règles de circulation des documents peuvent se combiner à la localisation, ce qui permet de créer des exceptions sans complexifier la structure des tables de paramétrage. Si vous voulez vous faire peur, jetez un coup d’œil sur la table des prêts dans Aleph ici : tab16. Il reste encore des points à valider, mais se repencher sur nos pratiques permet d’espérer plus de souplesse et de simplicité.

Les quitus

Mais s’il est tout à fait simple de proposer à nos lecteurs d’éditer eux-mêmes leurs quitus via le compte lecteur Primo, il est moins facile d’identifier la même fonction d’édition/impression sur place dans Alma, pour les lecteurs qui auraient besoin d’un tampon en bonne et due forme.

Toutes nos pratiques n’ont pas forcément été prévues de manière évidente dans les outils d’Ex-libris, et c’est un autre aspect du travail à mener que d’acclimater les possibilités d’Alma à nos tropiques.

Les réservations et le prêt indifférencié

Là, la MSP a dû faire preuve de compétences linguistiques pour retrouver ses petits. Comment arriver à distinguer le service Alma correspondant à la réservation de celui qui correspond au prêt indifférencié parmi les options de paramétrage aux intitulés pas forcément hyper explicites. Booking request ? general hold request ? move temporarily ? Ouf, notre système de réservations de documents empruntés correspond au mystérieux « booking request » et le prêt indifférencié à l’obscur « patron physical item request« , la MSP a retrouvé ses petits dans le jargon Ex-libris.

La liste des questions à instruire est encore longue, et le travail doit aboutir à la saisie de tous nos souhaits de paramétrage d’Alma et Primo, soit au bas mot quelques centaines de cases à remplir dans le fichier de configuration… Bon courage aux collègues impliqués dans ce travail minutieux!

 

 

 

 

Création d’une nouvelle pièce (SGBM) sous la conduite du GT accompagnement

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La compagnie de théâtre BIU prépare une pièce inédite et originale (c’est une création) : Alma/Primo d’Ex-libris pour la rentrée 2018. On notera que Toulouse et Bordeaux l’ont inscrite à leur répertoire. Liège et Lausanne la joue depuis 1 an à guichet fermé.

C’est le GT accompagnement qui est chargé d’assurer la mise en place. Le Théâtre BIU, est une des compagnies (bibliothèques) les plus importantes et ses créations mobilisent une troupe de près de 200 personnes.

Le GT accompagnement avec à sa tête la pilote de projet Marie Nikichine ainsi que tout son staff : Anne-Laure Mennessier, France Muraille, Lydie Guigue, Thierry Guslevic et Jean Llurba sont chargés d’organiser la communication autour de ce projet et d’en assurer l’organisation pratique des formations.

Vaste chantier pour un spectacle (logiciel) nouveau que peu de compagnies ont programmé pour l’instant. La direction de la BIU précise que c’est un bon choix et qui correspond à l’attente de leurs spectateurs (lecteurs) l’objectif étant la satisfaction du public avant tout…

Le GT est donc chargé de répartir au mieux les rôles : 200 comédiens (agents) sont concernés, les auditions ont commencé, nous pouvons déjà annoncer que l’ensemble des comédiens de la troupe participeront aux modules  suivants : formation de base, interface public, circulation du document et qu’ensuite viendront les rôles plus particuliers liés aux acquisitions, catalogage, gestion de la documentation électronique etc.

Même si les rôles doivent être distribués en fonction des compétences (fiche de poste) des uns et des autres, et si certains n’auront pas le personnage (module) qu’ils veulent, il faut avoir dans l’idée que participer à ce vaste projet c’est faire l’apprentissage du travail en équipe, au théâtre (BIU) il n’y a pas de grands ou de petits rôles, il y a des rôles où chacun doit savoir son texte afin de remplir au mieux la mission qui lui est confiée….

Les répétions vont commencer à partir de mars/avril, une équipe de formateurs relais préalablement formée, assurera ces formations. La générale est prévue en mai et la première en juillet 2018.

Souhaitons à la compagnie BIU et à cette nouvelle création autant de succès que son ancien spectacle : Aleph qui a tenu l’affiche pendant 17 ans et qui a fait les beaux jours de cette compagnie.

 

Jean Llurba

 

 

L’interview vérité

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Laure Franceschi, chef de projet SGBM, nous a reçus dans son bureau le 1er décembre pour l’interview-vérité. Au programme : les questions qui fâchent ! Attention, jokers interdits…

Pouvez-vous nous dire quand le nouvel outil va-t-il être mis en production ?
Un premier environnement a été livré le 21 novembre, avec les données d’Aleph. Nos Primo ont également été livrés. On est à la phase de « Mise en ordre de marche » : actuellement, les GT vérifient que la migration des données Aleph s’est bien passée et que les fonctionnalités mises en place correspondent à ce qui a été demandé. Au mois d’avril, une 2e migration aura lieu : Alma et Primo remplaceront Aleph et PFI à partir du 1er mai. Ce sera la « vérification d’aptitude ». Ensuite, nous avons un peu plus de 2 mois pour vérifier que tout est OK, et en juillet interviendra la VSR, la « vérification de service régulier » : à ce moment-là, nous recevrons nos premières factures d’Ex-Libris…

Quel sera le montant des factures ?

Le coût de la migration est de 120 000 euros et la licence annuelle est de 98 000 euros HT. Le coût de nos outils actuels dépasse ce montant : c’est donc plutôt une bonne opération, d’autant plus que nous ne disposions pas d’un outil de découverte à la BIU.

L’outil de découverte Primo va donc être mis à disposition des usagers au mois de mai… La BIU ferme peu de temps après : pourquoi avoir choisi cette date et prendre le risque de laisser nos usagers sans accès à nos ressources l’été ?

Ex-Libris a proposé un calendrier,  ce n’est pas vraiment un choix. Toutefois, envisager un déploiement plus tôt dans l’année aurait été difficile… et changer l’outil documentaire à l’automne n’aurait pas non plus été une bonne opération. En déployant l’outil en mai, on se laisse le temps de régler les problèmes jusqu’à la fermeture, mais également de finir de former les collègues afin que tout se passe bien à la rentrée et que Primo soit présenté aux usagers dans les meilleures conditions.

Primo, c’est ce qui va remplacer le site web de la BIU ?

Alma remplacera l’interface professionnelle d’Aleph ainsi que PFI. L’Opac actuel, lui, sera remplacé par les 5 interfaces publiques Primo (une pour l’UM, une pour l’UPV, une pour l’ENSCM, une pour Unîmes et une pour l’IPT). Cela ne fait pas de l’interface publique Primo notre site web, qui donne accès à autre chose que l’Opac.

On pourrait tout à fait imaginer que l’Opac serve de point d’entrée à toutes les informations actuellement contenues dans le site, mais c’est un autre chantier…

Du coup, que verront nos usagers ? Comment accèderont-ils au nouveau catalogue, ou plutôt aux nouveauX catalogueS ?

Les différents scénarios de travail sont en train d’être élaborés, mais l’idée est d’offrir le choix entre les différents catalogues sur la page d’accueil du site de la BIU. Il y aura aussi des liens via les ENT et les sites des universités.

Mais alors, pourquoi avoir choisi de mettre en ligne un nouveau catalogue au printemps dernier si on savait qu’on allait en changer aussi rapidement ?

Cela faisait longtemps que le projet de changer l’Opac pour un outil de découverte était étudié. Or, le projet SGBM prenait du temps, sans perspective solide sur les échéances… L’Opac intégré (notre nouveau catalogue) a été préfiguré dès 2015, et malheureusement, il y a également eu du retard sur ce projet. Le risque a tout de même été pris de mettre en place ce nouvel Opac et de donner au plus vite la possibilité aux lecteurs de chercher dans toutes les collections de la BIU indépendamment du support, et dès la page d’accueil du site. L’ancien site proposait aux utilisateurs de jouer entre différentes interfaces suivant le type de document recherché. Maintenant, ils peuvent tout chercher au même endroit. Ce sera également le cas dans Primo, et en plus, une interface propre à chaque établissement sera proposée.

Parmi les craintes concernant le SGBM, il paraît que tout est en anglais : les vidéos, les interfaces… que pouvez-vous nous en dire ?

L’interface professionnelle d’Alma est en français, celle de Primo en anglais. L’interface publique sera en français et l’on pourra aussi proposer d’autres langues à nos usagers. Les premiers clients d’Ex-libris sont anglophones et l’outil a également été implémenté dans des pays où l’usage de l’anglais dans un contexte professionnel est fréquent (Suède, …). Il est prévu de travailler à l’amélioration des traductions en coopérant avec les autres établissements francophones ayant adopté ces outils.

Justement, que devient le « M » du SGBM dans tout ça ?

La rédaction du cahier des charges a été mutualisée…  Ensuite les établissements ont préféré rédiger chacun de leur côté leur marché. Il est vrai que tous les marchés actuellement signés ont été attribués à Ex-Libris. Une collaboration existe toujours, mais elle relève plus de l’échange d’informations, chaque établissement ayant exprimé des besoins différents pour l’implémentation de leur produit. La phase de réalisation réduit les possibilités de collaboration, car beaucoup d’éléments de contexte local entrent en ligne de compte. La mise en place des échanges entre applications : SIFAC, Apogée, Harpège pourront être mutualisés, mais ça suppose qu’au moins un établissement se retrousse les manches pour tous les autres… L’Abes, elle, privilégie le travail sur les liens entre Alma et le Sudoc tout en continuant à proposer une assistance administrative pour l’établissement des marchés.

En parlant de mutualisation, est-ce qu’il est prévu de s’entre-aider pour la formation des utilisateurs professionnels ? Et qui va former les formateurs ?

Les formateurs vont se former comme les collègues membres des GT, d’abord en regardant les vidéos de l’Alma training center. Ils pourront finir de s’approprier l’outil grâce à l’environnement de production qui contient nos données et qui est configuré selon nos souhaits. Enfin, les membres de l’équipe projet et des GT pourront aider les formateurs en répondant à leurs éventuelles questions sur le fonctionnement d’Alma et Primo. On peut s’inspirer des plans de formation et des supports réalisés par les autres établissements, mais il y a trop de particularités dans les paramétrages demandés par chacun pour que cela soit réellement utile de travailler à plusieurs sur ces aspects.

Et pourquoi Ex-Libris n’a pas fourni de formateurs ?

Ex-Libris a mis en place un site de vidéos en ligne plutôt que de mettre en place des équipes de formateurs : c’est comme ça qu’ils présentent leur solution à tous les clients. La société ne propose jamais de formations sur place, même contre paiement (la Suisse a essayé!!).

 

 

Réinformatisation : le groupe Projet

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Côté BIU …

Comme les éléments et les saisons, les Frères Dalton et les Evangelistes, les filles du Docteur March et les Mousquetaires … Ils sont 4 !

Chef de projet BIU : Laure Franceschi

Chef de projet doc élec : Céline Paillaret

Chef de projet SGB : Régis Griesser

Chef de projet Unîmes : Anne-Laurence Mennessier

 

Et en face, qui sont-ils ?

Comme les jours de la semaine,  les nains et les mercenaires, les péchés capitaux ou les merveilles du monde, ils sont 7 :

Le groupe Projet est, comme son nom l’indique, chargé de la mise en œuvre du projet : il est l’interlocuteur du prestataire et doit s’assurer du bon déroulement des opérations. Un point (répondant au doux nom de « revue ») est organisé tous les 15 jours en visioconférence, avec au moins Caroline Zavattoni, chef de projet Ex-Libris ainsi que Laure et Régis côté BIU. Bien souvent s’adjoignent d’autres membres du groupe projet en fonction de l’ordre du jour.

De quoi parle-t-on lors des « revues projet » ?

Migration : préparation puis premiers retours, tests ; le groupe projet transmet au prestataire les livrables préparés par les autres groupes de travail ;

Calendrier : suivi des jalons, programmation de revues ou de formations – pour Alma comme pour Primo ;

Implémentation des outils, organisation et communication via les outils mis à notre disposition par Ex- Libris ;

Eventuellement : demandes spécifiques, aménagements, retours d’expérience d’autres utilisateurs Alma/Primo…

Evidemment, sur le papier, tout le monde concourt au même objectif : la réussite de la réinformatisation de la BIU et de ses partenaires. En pratique, les intérêts divergent parfois – par exemple : Ex-Libris est engagée dans de nombreux autres projets de réinformatisation et s’avère inflexible sur le calendrier ! A onze autour de la table, c’est un peu comme dans un match de foot : les équipes sont engagées et l’ambiance est parfois tendue…mais pour l’instant, on reste fair-play !

 

 

 

 

 


Des quitus au pied du sapin

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Si les formulaires de configuration d’Alma et Primo pouvaient être rédigés sous forme de lettre au père Noël, voici celle que la MSP aurait peut-être écrite…

Cher Père Noël,

Nous avons tous bien travaillé et nous t’attendons avec impatience pour voir si tu vas apporter à nos usagers la possibilité de disposer de plusieurs circuits de demande de quitus, comme c’est le cas aujourd’hui :

  • Directement à l’accueil des BU, où on le leur imprime + tampon + signature.
  • Par l’intermédiaire d’un formulaire de demande en ligne via le SID, puis on leur envoie un pdf.
  • Ou par un « circuit alternatif », pour ceux qui ne savent pas où s’adresser : les demandes via Boomerang.

(A noter que des petits lutins travaillant à la BIU interviennent dans ces 3 circuits pour vérifier l’état du dossier de l’usager (pas de document, pas de litige), et le bloquer, avant d’éditer le quitus.)

Le père Noël existe-il ?

La MSP espérait la reconduction à l’identique à minima, voire l’allègement des circuits.

L’usager devrait bien recevoir au pied du sapin la possibilité de faire sa demande de quitus via le site BIU. Côté lutins de la BIU dans le SGB Alma, on bloque bien toujours le compte de l’étudiant quand on édite son quitus, ça n’a pas changé.

Mais lors des échanges avec Ex-Libris, la MSP a eu du mal à faire comprendre que le quitus était remis par la bibliothèque à l’étudiant, qui se chargeait de le faire parvenir au service de la scolarité chargé des transferts de dossiers. Pour Ex-libris, les quitus étaient censés être envoyés sous forme de liste aux services de scolarités pour autoriser ou non l’émission d’un diplôme. Ce n’est pas ce qui était écrit sur notre liste au père Noël…

Pas à l’aise avec la notion de quitus et ses usages, Ex Libris n’a pas plus compris qu’un étudiant pourrait vouloir télécharger son quitus tout seul, ni prévu que les étudiants viendraient en masse demander des quitus directement à l’accueil des BU. Le SGB Alma ne permet pas à un personnel en poste d’imprimer un quitus. Ce personnel peut seulement l’envoyer par mail à l’étudiant.

 

Petit papa Noël, quand tu descendras du ciel, amène-nous des quitus par milliers…mais en ligne !

Ce dernier point est décevant : le circuit à l’accueil des BU en sera nettement alourdi… sauf si la procédure de demande et d’envoi de quitus devient complètement dématérialisée : l’étudiant imprimera lui-même le quitus reçu par mail. C’est un point encore à voir avec le père Noël, avec la direction de la BIU. Dans ce cas de figure, le circuit (ainsi allégé) à l’accueil des BU serait d’imposer systématiquement de faire sa demande en ligne. Les tests en janvier-mars prochains avec des collègues des différentes BU permettront d’y voir plus clair et de trouver de nouvelles pratiques confortables pour tous.

Et pour l’année prochaine, quels cadeaux ?

Alma permet l’envoi de fichiers de quitus directement à la scolarité des universités, mais apparemment un format xml. Il faudrait tester cette fonction et voir ensuite avec les services de scolarité si ce format est exploitable par eux. Et ces services ont-ils seulement envie de recevoir de tels envois ? La question est à leur poser …

Un beau cadeau serait que Primo permette à un étudiant dont le compte ne contient plus ni document ni litige de tirer lui-même son propre quitus, et que cette opération bloque automatiquement son compte. Dans cette configuration idéale, cet étudiant aurait été totalement indépendant et le travail du personnel de la BIU en aurait été encore plus allégé. Cette possibilité technique existe bien en théorie… à ceci près qu’elle nécessite un développement informatique payant, à mettre donc sur la liste au père Noël l’année prochaine pour avoir une chance de le trouver au pied du sapin.

 

 

La migration des données: Régis Griesser sur le gril

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À la différence de ceux d’André Gide, et même ceux d’un célèbre Palmipède, les interviews de Noria n’ont rien d’imaginaire. Cette semaine, c’est un des chefs projet SGB, chargé en particulier du volet Alma, Régis Griesser, qui se met à table.

L’interview a été réalisée par Thierry Guslevic le 17 janvier dernier.

 Hormis toi, Régis, qui d’autre à la BIU travaille sur la  migration des données?

Voyons…Surtout, n’oublier personne ! Sonia Dumortier… Nathalie Font-Gravier…Anne-Laure Mennessier…Isabelle Oms…Céline Paillaret… Florence Chaudoreille… Virginie Le Garff et Laure Franceschi.

En ce début d’année 2018, où en est le programme de migration des données dans le calendrier du projet ?

Il est parfaitement dans les clous. Le seul souci, c’est que la migration se déroule en 2 temps : d’abord, une migration de test, et une seule, pour laquelle on a indiqué et validé un certain nombre de choses dans un formulaire (codes de bibliothèques, localisations, statuts de traitements, de prêts, de lecteurs, etc.), qui a eu lieu le 26 octobre, et qu’on peut qualifier de globalement réussie, même si certains points peuvent laisser à désirer. Quant à la migration définitive, qui inclut les corrections qu’on aura pu apporter depuis la phase de migration de test, elle interviendra en avril prochain.

Doit-on comprendre qu’entre octobre et avril, l’équipe se reposera sur ses lauriers ?

Pas vraiment… Il nous faut dans cet intervalle procéder à une vérification minutieuse de toutes les données de la migration, et préparer les spécifications pour rectifier ce qui a, ou aura, échoué.

Pour un profane, cela s’apparente à un vrai travail de bénédictin !

En effet, c’est un travail qui exige rigueur, méthode et précision. On compare des ensembles de données, en termes de quantités, entre Aleph et Alma : nombre de lecteurs, de notices biblio, de localisations, etc. Cette vérification quantitative doit nous faire retomber sur nos pieds, sans marge d’erreur. En fait, la méthode est simple : on aspire les données dans Aleph, et on réinjecte le tout dans Alma. Avoir affaire au même fournisseur – ExLibris – pour Aleph et Alma est  a priori  une garantie de savoir-faire. Après quoi, on met en œuvre un autre processus de vérification, cette fois au niveau qualitatif : si l’on constate des écarts quantitatifs sur un bloc de données migrées, on va aller dans l’échantillonnage pour identifier la raison de cette non-concordance. Au bout du compte, on finit par retrouver tout ce qui devait l’être, exception faite des notices de ressources électroniques.

Pourquoi cette singularité ?

Parce que, pour les ressources électroniques, un traitement particulier a été opéré avec le fichier P2E (« physical to electronic »), avant traitement spécifique dans Alma, consistant à générer des inventaires électroniques pour ces ressources. Il nous a été demandé de compléter  un fichier d’activation des ressources, en cochant  le nombre de bouquets présents  dans la « base communautaire », sorte de gros réservoir Alma. Résultat : des doublons, ou bien des notices rejetées au profit des notices de la zone communautaire. Pour les revues électroniques, on n’a pu reprendre que 102 notices : plus de 100 000 notices Aleph ont ainsi été rejetées lors de la migration vers Alma. La faute probablement au fichier d’activation, qui fait référence à des notices bibliographiques issues de la base communautaire, au format MARC 21, et pas en UNIMARC, comme les nôtres. C’est en tout cas notre analyse. De son coté, Ex Libris continue la sienne, sans que les deux soient d’ailleurs forcément divergentes. L’information est toute fraîche, elle date de ce jeudi 17 janvier [date de l’interview].

Comment la migration s’articule-t-elle avec les autres phases du projet ?

Tout se fait en même temps. Pendant qu’on vérifie la migration, les autres missions font leurs propres tests. Les équipes doivent être au diapason : si l’on rencontre un problème dans un des processus, les incidences sur le travail des autres groupes sont inévitables, et l’ensemble du projet peut s’en trouver ralenti. Prenons un exemple, celui des cotes. Dans l’OPAC d’Aleph les champs cote 1 (cote magasin) et cote 2 (cote libre-accès) sont alternativement affichés en fonction de la localisation. Dans Alma, il n’y a qu’une cote principale, utilisée dans Primo pour l’affichage bref de l’exemplaire (bibliothèque –> localisation –> cote). Le processus de migration imposé par Ex Libris est relativement rudimentaire : il a fallu choisir un seul des deux champs pour tous les exemplaires, indépendamment de la localisation. C’est la cote 1 qui a été choisie au détriment de la cote de libre-accès, ce qui engendre des problèmes d’affichage, notamment pour le choix des exemplaires dans le cadre du prêt indifférencié et des réservations. À partir de là, la Mission services aux publics a objecté, avec raison, que ses tests ne pouvaient pas continuer à se faire correctement. Il en va de même pour la Mission collections qui doit vérifier que les ressources électroniques ont été correctement migrées, or ce type de problème les impacte directement. Voilà un exemple de l’interdépendance des processus de travail, et de l’effet domino en cas d’anomalies dans la migration des données.

Y a-t-il eu une difficulté, plus importante que les autres, qui pourrait mettre en péril le projet, ou du moins le retarder significativement ?

Un problème a été pointé par la direction, et transmis à Ex Libris dans une lettre de saisine : la configuration initiale, telle qu’elle a été consignée dans les différents formulaires  et les  work books Primo – il va falloir se mettre au franglais ! – n’a pas été implémentée de la façon dont elle aurait dû l’être, c’est-à-dire de A à Z, à la livraison des environnements de production.

Un « simple oubli » de la part du fournisseur ?

Réponse d’Ex Libris : ils ont livré les environnements, mais il s’agit d’un processus de configuration itératif, qui s’opère par échanges et allers-retours réguliers entre Ex Libris et l’établissement. De leur point de vue, il n’y a là rien de plus qu’une légère incompréhension, mais qui aura au final généré pas mal de tickets pour corriger les défauts !

On peut être raisonnablement optimiste, et se dire que les choses vont finir par rentrer dans l’ordre ?

C’est-à-dire qu’à la fin, il y aura une VA (vérification d’aptitude) et une VSR (vérification de service régulier) qui seront prononcées : si le service ne peut être lancé en l’état, alors l’établissement  pourra remettre en cause le contrat. C’est une possibilité…

N’existe-t-il pas des moyens, en amont, pour corriger ces biais, avant d’en arriver à de telles extrémités ?

Si, justement, les experts qui travaillent sur Alma et Primo ne manquent pas de nous signaler tous les bugs et les problèmes qu’ils peuvent rencontrer. Ensuite, il appartient au fournisseur d’être réactif et de proposer des solutions.

Est-ce à dire que les experts BIU –  membres des GT et missions – sont, en quelque sorte,  des lanceurs d’alertes ?

D’une certaine façon, oui…On en est aujourd’hui à quelque 90 tickets sur Alma et surtout Primo, d’importance inégale : ça va de la simple coquille ou faute d’orthographe dans un libellé, jusqu’à un problème de migration sur cent milliers de notices !

Y avait-il un risque, ou une crainte forte, avant la mise en œuvre du projet ?

Peut-être une crainte, à titre personnel… Lors des auditions, il n’avait échappé à personne qu’on allait se retrouver avec des systèmes relativement rigides, en termes de personnalisation et de paramétrages, avec certaines choses qui ne seraient absolument pas modifiables. Ensuite, entrent en considération des questions complexes d’arbitrage dans la structure des offres, entre la partie technique et la partie tarifaire.

Mais, si certains points ne sont pas paramétrables, cela n’équivaut-il  pas à baisser le niveau de nos  exigences propres ?

Voyons plutôt les choses, non pas comme une régression, mais plutôt comme un changement de pratiques. Par exemple, on ne pourra pas exporter dans les notices de commandes les noms ou initiales des acquéreurs, comme dans Aleph. Impossible de rectifier via un ticket : il faudra s’adapter. De façon générale, ce n’est pas parce qu’on va passer  à Alma qu’on va « débrancher » les serveurs Aleph et BO. On pourra toujours les interroger, en cas de besoin. Il existe des solutions techniques proposées par Exlibris, tel un export sous forme de fichier CSV (un format tabulé lisible par Excel) à partir d’Aleph pour récupérer des données non migrées, comme l’historique de prêts, pour prendre un exemple concret, utilisé à des fins statistiques. Il existe aussi des solutions de contournement : faire des exports dans Analytics et  traiter ces exports dans BO, où l’on peut bâtir des requêtes à partir de deux univers différents.

S’il fallait retenir une ambition du volet « migration », quelle serait-elle ?

Faire en sorte que tout le monde soit satisfait au final, et puisse travailler avec sérénité, et une efficacité augmentée. Ce n’est pas seulement de la langue de bois ! La problématique de la migration est au cœur du projet, c’est même l’une des conditions-clés de sa réussite.

Existe-t-il une recette pour une migration idéale ?

 

(Rires.) Non, on n’a pas trouvé de cahier de recettes* tout fait ! Il faut juste faire confiance à l’expérience et au bon goût du cuisinier et de son équipe, faire en sorte que ça n’attache pas…

 

 

Pour paraphraser un autre hebdomadaire bien connu de nos lecteurs, y a-t-il des questions auxquelles tu aurais échappé ?

(Un silence.) Non…Mais si tu veux parler d’une question que j’aurais aimé que tu me poses…

Euh…Laquelle ? (Ma parole, c’est l’arroseur arrosé !)

Tous les personnels de la BIU sont-ils bien conscients de l’importance du projet, et de l’investissement des équipes qui en sont partie prenante ?

Communiquer sur le projet SGBM tout au long de son déroulement, tel est précisément l’objet de Noria. Quant à savoir si nos collègues dévorent nos articles à belles dents …

À suivre, donc.

Un grand merci à Régis pour s’être soumis au feu roulant de nos questions.

*En informatique, le terme « recette » désigne l’ensemble des pratiques de test d’un produit pour en vérifier la conformité, en particulier une implémentation correcte des fonctionnalités validées en amont dans le cahier des charges, afin d’assurer la qualité des données de façon pérenne, éviter les problèmes de montée en charge, etc.

Alma, et moi, et moi, et moi…

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Tic, tac, tic, tac…

Rappelez-vous, le SGBM, c’est pour le 3 mai. Et malgré le froid et la neige de ces derniers temps, les beaux jours ne sont finalement plus si loin ! Justement, le GT accompagnement est en train de concocter, pile pour l’arrivée du printemps, un programme de formations à destination de l’ensemble des agents de la BIU et même au delà, puisque les collègues des bibliothèques associées et des bibliothèques partenaires seront bien sûr de la partie. Levons le voile dès à présent sur ce qui est prévu.

Les formations pour tous : le SGBM en 10h

A partir du 26 mars et jusqu’au 14 avril, mobilisation générale ! Il est prévu que chacun d’entre vous puisse assister à 4 séances de formations afin d’être prêt pour le grand jour. Voilà comment se répartissent les 10 heures de formations, façon kit de survie :

  • Introduction à Alma et au SGBM (3h)
  • Utilisation de Primo (3h)
  • Tout savoir sur le module circulation (2 x 2 h) :

 

Les plannings vont parvenir ces jours-ci dans vos BU et services afin que chacun puisse y être inscrit.

Chaque BU aura aussi un kit à destination des vacataires, afin qu’ils puissent être formés rapidement aux nouveaux logiciels.

Impatients ? La configuration d’Alma a bien avancé et les plus curieux d’entre vous peuvent utiliser le compte suivant pour s’identifier sur la plate-forme :

login : AlexDavid

mot de passe :

Et le reste ?

A partir du 15 mai, place aux formations spécifiques : tout n’est pas encore défini, mais l’on sait déjà qu’il sera au moins question d’acquisitions, de signalement, de gestion des usagers, de statistiques, etc… Tout le monde n’est pas concerné par l’ensemble des formations qui seront mises en place : ceux qui le sont seront bien sûr sollicités individuellement. L’objectif est que toutes les formations initiales aient pu avoir lieu avant la fermeture de juillet.

Tout ça grâce à qui ?

Le GT accompagnement est grandement aidé dans la mise en place de ces formations par les groupes de travail SGBM : formusa, mission collections, mission services aux publics, équipe projet… notamment pour la définition des trames de formations, pour leur découpage en modules. La cellule formation est également au taquet pour que les choses se passent bien. Et bien sûr, rien de tout cela ne sera possible sans l’équipe de choc des formateurs relais, dont nous allons vous parler plus en détails très rapidement…

L’ABES et le SGBM

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Depuis la fermeture du blog de l’Abes consacré au sgbm  (pour des raisons de confidentialité liées au marché public), difficile pour le commun des mortels d’assouvir sa curiosité et de savoir ce que les équipes de l’Abes concoctent pour accompagner le passage au SGBM des établissements membres de l’accord-cadre.

Une journée d’information est organisée chaque année depuis 2015 pour les membres du groupement de commande, mais, procédure de marché oblige, rien ne filtre de manière publique sur ce qui s’y dit. Ne reculant devant aucun obstacle, l’équipe Noria est allée interviewer le directeur de l’Abes et le chef de projet SGBM, respectivement David Aymonin et Serge Genot,  pour en savoir un peu plus…

 Pouvez-vous nous dire quel est le rôle de l’Abes dans le marché actuel passé entre la BIU et Ex-libris?

Avant la signature des marchés entre la BIU et Ex Libris notre rôle consistait à vous accompagner dans la mise en œuvre et le pilotage de votre marché subséquent (aide à l’organisation, aide à la migration, aide à la rédaction du Document de Consultation des Entreprises, aide à l’analyse des offres, aide à la négociation, organisation de la commission d’appel d’offres, …).

Après la signature du marché, l’Abes  propose une assistance à la maîtrise d’ouvrage sur le déploiement de votre solution. Cela passe par les actions et les services suivants :

  • l’accès à un espace collaboratif avec des documents partagés par les établissements, sur chaque étape du déploiement
  • la participation à un comité de suivi des déploiements. Il permet de mettre en place une pression collective sur les fournisseurs pour le respect des calendriers, l’amélioration de la qualité des formations…
  • une aide à l’organisation du projet
  • une aide à la migration
  • une aide à l’organisation des formations
  • une aide au recettage

Pour résumer, nous partageons l’expérience de tous les établissements pour faire émerger et consolider les bonnes pratiques. Il est important de mutualiser au maximum pour ne pas laisser les établissements seuls face au fournisseur.

 L’ABES continue-t-elle à animer le réseau des sites qui sont en cours de déploiement ?

Oui. Cela passe par l’animation des comités de suivi des déploiements. Il y en a un par fournisseur. Celui dédié à Ex Libris se réunit tous les 2 mois ou à la demande des directeurs en cas de difficultés, comme récemment. Des courriers collectifs ont ainsi été rédigés pour faire pression sur des délais non respectés et des formations dont la qualité est jugée insuffisante. Les comités regroupent les directeurs de BU et les chefs de projets des établissements.

La pression collective de ces comités a déjà démontré son efficacité. Ex Libris a été très réactif sur le traitement des difficultés rencontrées. Cette approche concertée, en bonne intelligence, n’est pas exclusive de l’application des pénalités.

Quand les établissements seront en production, un comité de suivi des évolutions prendra le relais du CSD. Il organisera un lobbying auprès d’Ex Libris pour faire avancer les demandes d’évolutions françaises au sein du club utilisateur international.

Quels sont les services de l’Abes qui restent impliqués dans le projet SGBM ?

Tous les départements restent impliqués. Neuf projets estampillés “SGBm” mobilisent toujours plus d’une dizaine d’experts dans les différents services. Ils le sont à temps plein pour 2 d’entre eux et de manière ponctuelle pour les autres. Onze chantiers sont actuellement menés avec Ex Libris. Il s’agit essentiellement d’intégrer Alma au SI de l’Abes mais aussi à vos SI locaux (système financier, gestion des utilisateurs…). Avec Ex Libris, l’Abes prépare le test de la sauvegarde de vos données dans un nuage national ainsi qu’un audit sécurité sur leur solution.

 Un des avantages espérés du SGBm était d’éviter la double-saisie SIGB/Sudoc : est-ce encore à l’ordre du jour ? 

Oui. Parmi les 11 chantiers menés avec Ex Libris, 6 concernent la synchronisation des workflows entre l’Abes et la solution Ex Libris :

  • Mises à jour bibliographiques Sudoc -> Alma – test de l’intégration de fichiers
  • Mises à jour bibliographiques Sudoc -> Alma – mises à jour SRU
  • Mises à jour d’inventaire Alma -> Sudoc
  • Liens avec IdRef (autorités)
  • Signalement des E-Ressources
  • Intégration de BACON

Dès la mise en production des premiers sites migrés, la synchronisation SIGB/Sudoc se fera avec une plus grande fréquence : l’objectif est de passer d’une fréquence quotidienne à une fréquence horaire.

A terme, les mises à jour devraient se faire en temps réel.

 

 Le signalement va-t-il continuer à se faire via WinIBW ?

Pour le moment, le catalogage dans WinIBW reste garanti.  D’autres solutions sont proposées par OCLC pour remplacer cette interface, mais ce ne sont que des prototypes pour le moment. L’autre piste est de pouvoir travailler directement dans Alma et de pousser ces données vers le SUDOC, en tous cas pour les ressources au titre à titre. Pour les ressources électroniques, il s’agit plutôt de travailler à des échanges réguliers entre les données du Sudoc et la base de connaissance d’Ex Libris.

 Le SUDOC sera-t-il aussi migré vers l’une des solutions mentionnées par l’accord-cadre ?

Le remplacement de CBS (le moteur du Sudoc) n’est pas évoqué explicitement dans l’accord cadre. Contrairement à ce qui avait été annoncé au début des années 2010 OCLC a réaffirmé son souhait de continuer à maintenir et à développer CBS, donc il y a moins d’urgence de ce côté.

La préparation du projet d’établissement 2018-2022 devrait permettre de définir les scénarios d’évolution du Sudoc.  Toutefois, aucun logiciel parmi les solutions mentionnées dans l’accord-cadre n’est en mesure de supporter l’ensemble des services proposés par l’Abes : les traitements de masse, la curation et l’exposition de métadonnées, ainsi que leur réinjection dans des systèmes locaux qui restent diversifiés.

Nous veillons en revanche à garantir une compatibilité des solutions SGBm avec les services nationaux actuellement proposés. Les logiciels comme Alma sont censés être calibrés pour s’adapter et supporter toutes les évolutions. L’accord cadre précise en effet que la solution SGBm devra proposer des fonctions locales, mais aussi des workflows avec les services nationaux de l’ABES (Sudoc, IdRef…). Elle doit également offrir des garanties d’ouverture et de sécurité : ouverture du produit, sécurité des données, usage des données. C’est bien le cas pour Ex Libris qui dispose d’une bibliothèque d’API très riche.

Cela permet d’envisager sereinement l’avenir où les solutions SGBm continueront bien à travailler avec le Sudoc, tout en préservant la qualité du travail en réseau.

 Comment voyez-vous la suite du projet SGBM ?

L’accord cadre prend fin en octobre 2020. Jusque-là, l’Abes accompagne chacun des 46 établissements du groupement de commande, depuis la rédaction de leur cahier des charges jusqu’à leur déploiement final, tout en menant à terme les projets autour du SGBm déjà évoqués (intégration des solutions aux workflows de l’Abes, aux SI locaux, sauvegardes nationales, audit sécurité).

Nous préparons dès à présent l’après accord cadre, fin 2020. Deux scénarios sont à l’étude : mettre en place un nouveau groupement de commande ou mettre en place une centrale d’achat. La décision sera prise dans le courant de l’année 2018. La 2ème solution apporterait une fluidité supplémentaire et permettrait aux établissements de se décider au dernier moment, sans la peur d’avoir raté le train.

Il est particulièrement important de continuer à travailler ensemble sur ces questions : la question de l’un est la question de tous. C’est en continuant à échanger entre les établissements du réseau et avec l’Abes que nous réussirons ensemble ce projet d’envergure nationale destiné à améliorer encore le service rendu par les bibliothèques.

 

Les formations à Primo et Alma

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La date fatidique du 3 mai (mise en production de nos nouveaux outils, Alma et Primo) approchant, il est grand temps d’évoquer une question qui nous concerne tous : la formation !

 

Le GT « accompagnement » a planché sur cette question et a fait des propositions, examinées et validées par le COS. Les formations vont donc se dérouler en deux temps :

  • Des formations « pour tous » : elles vont se tenir entre le 26 mars et le 6 avril à Montpellier, et la semaine du 9 avril à Nîmes. Ces formations ont été pensées comme un « kit de survie », afin que tous les agents soient en mesure de prendre en main les nouveaux outils – et notamment tout ce qui touche à la Circulation – dès la mise en production. Elles ont également été conçues de manière à ce que chaque agent puisse manipuler les nouveaux outils : les sessions se dérouleront dans des salles équipées de PC, par groupes de 15 à 18 personnes. 3 modules sont au programme :
    • Alma : recherche et navigation (3 heures)
    • Primo : l’interface utilisateur (3 heures)
    • Alma : circulation (2 séances de 2 heures)

Le GT accompagnement a élaboré un planning qui répartit, par BU, les places de formation. Ce planning circule actuellement dans les établissements afin que les agents s’inscrivent sur un des créneaux proposés en fonction de leurs disponibilités et de leurs contraintes. L’idée étant de ne pas « vider » une BU de tous ses agents sur un même créneau, pour garantir l’ouverture au public !

  • Des formations plus spécialisées : elles s’adresseront à une partie des agents, en fonction de leurs missions (catalogage et signalement, acquisitions, statistiques…). Ces formations auront lieu après le « cut over » et même, vu les traditionnels jours fériés et ponts du mois de mai, à compter de la semaine du 15 mai. Le GT accompagnement travaille actuellement avec les autres GT et missions à un découpage fin de ces formations. Il pourra ensuite recenser le nombre d’agents concerné par chacune d’elle, prévoir le nombre de sessions nécessaires et élaborer un planning qui, lui aussi, circulera dans les différentes BU.

Qui pour nous former ? Les formateurs relais !

Une dizaine de collègues va assurer ces formations à l’ensemble des personnels (soit 170 agents), en voici la liste :

  • Nathalie Font-Gravier
  • Julie Vidal
  • Valérie Godet
  • Nathalie Caizergues
  • Thierry Guslevic
  • Martin Donnat
  • Isabelle Oms
  • Brigitte Lattier
  • Nicolas Vermond
  • Jean Llurba
  • Raluca Pierrot

Laure Franceschi et Régis Griesser, initialement pressentis comme formateurs relais ne sont finalement pas inclus dans le programme des sessions – ils pourront servir de joker en cas d’absence impromptue ; nul doute par ailleurs qu’ils auront suffisamment à faire juste avant et pendant le cut-over (période qui s’étend du 13 avril au 2 mai) !

Alors, merci qui ??

Laure et Régis, qui ont  animé une session « démonstration-foire aux questions » avec les formateurs relais, pour permettre à ces derniers de prendre en main les appli et d’en connaître toutes les subtilités ;

Les missions et GT qui ont déjà intégré les formateurs dans les équipes de testeurs et contribuent à élaborer les supports de formation

Les formateurs relais évidemment !

A un mois des premières sessions de formation, les supports sont en cours d’élaboration, les salles sont réservées, les plannings se remplissent, les formateurs se préparent…le compte à rebours est bel et bien lancé !

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